D’origine française, SEGULA Technologies est un groupe mondial d’ingénierie qui intervient dans tous les secteurs industriels : énergie, automobile, aéronautique, ferroviaire, naval, Life Sciences et télécoms. Plus de 12 000 collaborateurs (5 000 en France) accompagnent les clients du Groupe dans tous les aspects de la transition énergétique. « Nos techniciens et ingénieurs travaillent directement sur site (en France ou à l’international) ou en bureaux d’études », précise Sonia.

Les projets sont nombreux et très diversifiés : « Tous les domaines d’activité cherchent à abandonner les énergies fossiles pour aller vers des solutions décarbonées. On les aide à remplacer les véhicules thermiques par des véhicules électriques, à réduire la masse des avions pour diminuer leur empreinte écologique… Nous travaillons aussi beaucoup sur l’optimisation des process et la recherche d’économies d’énergie. C’est ce qu’on a appelé l’industrie 4.0. »

Le Groupe s’appuie sur son pôle de Recherche et Innovation pour suivre les dernières tendances en matière de transition écologique. « C’est un peu notre cellule de veille pour dénicher les technos de demain. Nous travaillons sur 200 projets de recherche chaque année, ce qui nous permet d’être au cœur des enjeux de nos clients industriels. »

SEGULA mise aussi beaucoup sur la formation interne. « Tous les industriels nous disent que le manque de compétences est un frein à leur développement, pointe Sonia. Pour pallier cette pénurie de savoir-faire, nous formons chaque année des milliers de collaborateurs en France et à l’international au sein de la SEGULA Academy. » Cet organisme de formation interne est certifié Qualiopi, ce qui constitue un gage de qualité pour les salariés et clients du Groupe !

« On favorise par ailleurs la mixité en interne car nous pensons que c’est un enjeu d’avenir pour l’industrie, ajoute-t-elle. Les technologies que nous imaginons sont pensées pour être inclusives. La mixité apporte plus de diversité dans les idées ! »

Les innovations qui mobilisent actuellement les équipes de SEGULA ? « Nous avons par exemple développé un projet un intitulé Green Deliriver, en partenariat avec un consortium de partenaires dont GRDF. Il sortira au moment des JO de Paris, soit dans moins de 500 jours ! » Le concept ? Une navette fluviale fonctionnant à l’énergie renouvelable, chargée de transporter des matériaux très lourds sur la Seine.

Autre projet d’actualité : REMORA, un système de stockage d’énergie sous-marine par air comprimé. « Les éoliennes en mer sont plus performantes que celles présentes sur terre, mais le stockage de l’énergie renouvelable est problématique. Grâce à cette solution, elle est stockée directement sous l’éolienne puis distribuée directement sur le réseau électrique en fonction des besoins. C’est un projet mené en collaboration avec des universités et d’autres entreprises dont nous venons de lancer le démonstrateur. Il sera déployé sur le terrain d’ici 2025. »

Sur la terre ferme, le projet du Grand Paris facilitera les déplacements franciliens à l’horizon 2025. « Demain, je n’aurais plus besoin de prendre trois métros et un RER pour venir travailler à Nanterre, explique Sonia. Avec la nouvelle ligne 15 du Grand Paris, je ferais peut-être le trajet en 35 minutes, au lieu d’une heure. Quand on dit qu’on change le monde, ça peut paraître conceptuel alors que les applications de notre travail sont très concrètes ! »

En très forte croissance, le Groupe a plus que jamais besoin de bras (et de cerveaux) pour accélérer la décarbonation de l’industrie. « Nous projetons de recruter 6 000 collaborateurs dans le monde en 2023, dont 2 000 à 2 500 en France, annonce Sonia. Et si vous voulez travailler à l’international, les opportunités ne manquent pas ! »

Tous les métiers liés à la transition énergétique sont bien sûr concernés, mais pas seulement. SEGULA embauche aussi dans les métiers du digital, « mais appliqué à l’industrie ». Par exemple pour travailler sur les systèmes embarqués des véhicules électriques et des avions.

« L’un de nos clients construit des Gigafactories qui fabriqueront les batteries électriques de demain pour le secteur automobile. Pour ce projet, nous recherchons des profils avec un vernis en chimie ou en automatisme. Les compétences requises étant très rares, nous les formerons ensuite en interne. De toutes façons, les technologies évoluent tellement vite que ce qu’on a appris il y a quelques années en école d’ingénieurs ou à l’université n’est souvent plus applicable en entreprise ! »

La cybersécurité est également devenue un enjeu critique pour beaucoup d’entreprises désireuses de sécuriser leurs données… mais aussi le parcours des véhicules autonomes en vue d’éviter les accidents. « Nos experts travaillent également dans les secteurs de la Défense et l’aérospatiale », complète Sonia.

Vous cherchez un poste près de chez vous ? « Nos 40 implantations nationales sont très proches de nos clients industriels et assez proches des universités. On recrute partout en France, mais aussi dans 27 pays ! »

Dans un groupe de la taille de SEGULA, les perspectives de carrière sont presque infinies. Pour autant, vous ne serez jamais noyés dans la masse. « Ce qui est important pour nous, c’est la personne. Les parcours sont vraiment individualisés en fonction des souhaits de chacun. Un jeune diplômé qui nous rejoint à Lyon pourra apprendre la conception automobile, d’abord en France puis chez d’autres constructeurs en Turquie ou en Chine. S’il préfère changer de secteur d’activité, c’est aussi possible car les mobilités sectorielles sont très développées chez nous. Tout comme les mobilités fonctionnelles, par exemple pour devenir manager ou expert dans son domaine. »

« Après la période Covid, on s’est rendu compte qu’il était plus compliqué de créer du lien en distanciel. Et ça manquait à nos équipes ! », analyse Sonia. Pour répondre à ce besoin d’échanges informels, le Groupe organise un afterwork tous les mois au sein de ses agences. Un moment de convivialité qui peut aussi prendre la forme d’un petit-déjeuner ou d’un goûter. « On a fait un sondage en interne avant sa mise en place et ce qui en est ressorti était très positif. Nos collaborateurs apprécient de passer du temps avec leurs collègues, et d’apprendre à leur contact. C’est un point fort qu’on va continuer à accentuer. »

Au-delà de ces nombreux atouts, le meilleur argument de Sonia Fosse reste l’importance des projets menés en interne : « Les générations futures nous jugeront sur nos actions actuelles pour contrer le réchauffement climatique. C’est ce qu’on fait aujourd’hui qui comptera pour l’avenir ! »

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